Démonstration passionnante avec les boîtes à terre Entreq

Démonstration passionnante avec Entreq Siver Minimus et Olympus earth boxes.

Le test a utilisé des amplificateurs Grandinote Shinai, des enceintes Marten Django L, un DAC analogique MSB et des câbles Jorma No. 3. La musique a été jouée à partir d'un Mac Mini.

J'ai eu une démonstration très enrichissante et instructive avec deux vétérans de la HiFi, curieux et naturellement sceptiques, qui voulaient découvrir de leurs propres oreilles s'il y avait vraiment de la substance dans les boîtiers de terre d'Entreq.
Nous avons commencé par jouer différents types de musique pour familiariser nos oreilles avec les sons de la pièce. Et ce, sans qu'aucune prise de terre ne soit connectée. La dernière chanson que nous avons jouée était Blood Sweat & Tears "You've Made Me So Very Happy" qui, par pure coïncidence, est devenue la chanson de référence de notre test.
J'ai eu une expérience personnelle avec le Silver Minimus de la foire de Copenhague. L'amélioration avec le boîtier de mise à la terre branché était étonnante. Dans ma salle d'exposition, la différence n'est pas aussi importante (bien que mes invités ne soient pas d'accord). Pour assurer une bonne démonstration, surtout quand on vient de loin, j'ai pris la nouvelle création d'Entreq, "Olympus". De retour à la maison, je l'ai testé. Oui, cela valait bien le voyage de 25 miles !
Après l'échauffement des oreilles, nous avons branché le boîtier de terre Olympus avec le câble Atlantis. On m'a demandé si j'avais changé le volume. Mais comme le contrôle du volume se trouvait à 5 mètres, j'ai pu répondre calmement par la négative. Une couverture avait été enlevée à la musique. La musique et les instruments avaient acquis une toute nouvelle liberté de chanter. Elle sortait des haut-parleurs de façon merveilleuse et les instruments avaient leur espace naturel pour jouer et interagir sans se déranger les uns les autres. Les basses, en particulier, ont gagné en élasticité, en contrôle et en profondeur, ce qui est pour le moins fascinant. La pièce dans laquelle j'ai fait ma démonstration peut, à certaines fréquences, sonner un peu spatial et cahoteux. J'ai trouvé que cela avait considérablement diminué.
Nous sommes ensuite passés à la boîte de terre Silver Minimus avec le câble Apollo associé. Nous avons constaté la même amélioration, mais dans une moindre mesure. Une remarque intéressante cependant. Cette boîte de mise à la terre pouvait être perçue comme légèrement plus chaude dans son apparence, alors qu'Olympus, malgré le fait que nous la classions comme plusieurs fois meilleure, était perçue comme plus analytique.
Puis est arrivé ce qui m'a le plus fasciné ! Nous avons connecté les deux boîtiers de mise à la terre en même temps ! Olympus à l'amplificateur et Silver Minimus au câble USB de l'ordinateur. C'était aussi un câble Entreq qui peut être mis à la terre.
Ah, l'harmonie. Maintenant, tout se fondait en une entité merveilleuse. Haute définition musicale et chaleur humaine. Que se serait-il passé si un autre Olympus earth box avait été connecté à l'ordinateur ?
Nous avons ensuite essayé d'autres combinaisons. Mais celle avec Olympus pour l'amplificateur et Silver Minimus pour l'ordinateur était la meilleure combinaison.

Je tiens à remercier chaleureusement mes invités pour cette soirée très enrichissante !

Pour tous ceux qui sont curieux : nous sommes tous d'accord pour dire qu'il est impossible d'imaginer l'étendue de ce qu'une boîte à terre peut offrir. Il faut en faire l'expérience.
Nils Rigeblad
Studiokoncept